Le bruit des images
Celui que a convenu appeler de Economie d’Attention a identifié que les images son chaque fois plus flashy, attirant. Ils sont explicite comme la pornographie et ainsi comme cella, ils sont de plus en plus assemblé pour rattacher notre regarde. Néanmoins, dans le Supermarché des Images que a les étager partout, on nous demandons « Qu’est-ce qu’il ne voit pas ? Qu’est-ce qu’il ne peut voir ? » ( SZENDY, 2020)
La exposition « Le bruit des images » est le rendu de ma recherche sur les question de la consumation des images et les images qui nous consumons. Actuellement, les images destinées à la consommation ont envahi notre espace privé à travers les appareils numériques et les réseaux sociaux, faisant de l'espace imaginé par Walter Benjamin, composé à cent pour cent d'images, une réalité. De cette manière, ces images mettent un stress supplémentaire sur un monde qui regorge déjà d’images issues des journaux, des magazines, des affiches, du cinéma, de la télévision, etc.
Les œuvres choisies pour cette exposition abordent différents moments du modèle de consommation d'une société et sont caractérisées pour être composée par des images créées pour contribuent d'une manière ou d'une autre à l'écosystème commercial et qui, à un moment donné, jouent un rôle dans la chaîne d'événements entre production-distribuition-vente-achat.
Les œuvres présentes dans l'exposition « Le bruit des images » sont composées de matériaux réels et physiques, principalement du papier, et utilisent l'accumulation et le bruit visuel comme métaphore à la fois du volume de biens consommés et du volume d'images présentes dans notre quotidien.
Dans les œuvres des « Affichistes » du Nouveaux Réalistes, le matériau provient de panneaux publicitaires présents dans les rues des grandes villes et qui ont été « détachés » ou détruits pour que les artistes puissent utiliser leur valeur picturale.
Les œuvres de cette exposition essaie de établir quel est le statut des images aujourd’hui en mettant en comparaison avec un autre moment de consumation puissant, mais que était fait de manière analogique : le premières décennies après la deuxième Grand Guerre. Cette recherche a s'intéressée aussi pour les écosystèmes qui incluent d'autres communautés d'images : les images sans importance, les faibles-pauvres, les laides, celles qui provoquent du bruit, de l'inconfort, la pollution visuelle.
Les images commerciales utilisées par les « Affichistes » dans les années 1960-1970 étaient conçues pour capter l'attention des passants, citoyens des centres urbains. Les papiers collés sur les murs et les panneaux ont été réalisés à grande échelle, ce qui a permis d'identifier facilement l'annonce à distance, de capter le regard et de lui donner un avantage dans la compétition d'attention parmi les nombreux éléments e signes présents dans les grandes villes – Paris et Milan. La grande échelle correspondait également à l'aspect local de la consommation : ces images n'avaient pas besoin de se déplacer et d'être présentes dans différents coins de la planète, elles pouvaient donc être immenses. Sa taille correspond au regard humain.
Alors que Peter Szendy aborde la question des images numériques, l'une de leurs caractéristiques est précisément la possibilité de les compresser, en modifiant leur taille et leur poids, afin de pouvoir les envoyer plus facilement et plus rapidement via des câbles Internet sous-marins.
Et c'est dans ce contraste que la taille des œuvres de Thiago Bueno Gomes correspond au « regard » de la machine. C'est le reflet d'une époque de commerce mondial, où les images doivent voyager et être présentes dans toutes les grandes villes et tous les territoires où il existe un marché pour vendre leurs produits.
Cette exposition propose de mettre en conflit et en contraste les géants images des affiches de rue avec celles que « on ne voit pas » ou que « on ne veut voit pas », et aussi celles qui restent dans l'ombre, les images qui sont sur les produits mais qui sont délibérément conçu pour ne pas être vu, ou pour éviter d'attirer l'attention sur l'image qui compte vraiment pour le produit.
Les images utilisées par les Affichistes, bien qu'ils soient brisés, fragmentés, travaillent à promouvoir le produit ou le service. Elles sont un indice du statut de l'image dans les années 1960 et sont considérées comme importantes, créées avec soin par les agences de publicité. Ce sont des images de ce qui sera acheté et consommé, et par conséquent de l'accumulation de biens. C’est l’image créée pour que les êtres humains la regardent et cherchent à la consommer.
Les images de Thiago font partie de la logistique d'expédition et le processus de achat des produits. Elles présentent le statut contemporain de l'image, dans une économie mondiale et numérique. Sont des images qui sont faits pour que la « machine » puisse le lire pendant le processus de consommation. Elles ne sont pas tenu comme des images sans importance, mais notre éthique à leur égard est cella, puisque après tout le code bar, le table de nutrition, les information de composition ont une fonction importante. Ce sont des images de tout le processus jusqu'à que la marchandise soit consommée, en plus celui qui a été consommé et l'accumulation de déchets qui seront rejetés dans l'environnement après.
Les travaux de Thiago Bueno Gomes présentent la même ligne de pensée, mais en se concentrant sur une autre niche de cet écosystème commercial, celle de la emballage des produits. Mais ici, l’image qui a valeur picturale n’est pas laquelle sur la face – développée justement pour qu’elle soit attractive et dès qu’elle est vue – mais celles qui se trouvent au dos des produits et dans leurs moyens de transporte et qui n’ont pas au départ un valeur visuel attractif.
Les œuvres
L’analyse du corpus